SLASH annonce la sortie de son album de blues avec Brian Johnson, Iggy Pop, Beth Hart...

SLASH "Orgy of the Damned"

Sixième album solo !

Sortie le 17 mai 2024

Le légendaire guitariste et compositeur annonce son premier album de blues avec en invités, au chant : Brian Johnson (AC/DC)Beth Hart, Chris Stapleton,  Iggy Pop, Paul Rodgers, Gary Clark Jr, Billy F. Gibbons (ZZ Top)Chris Robinson (The Black Crowes), Demi Lovato, Dorothy et Tash Neal.

C
D, double vinyle, & digital

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Premier single  « Killing Floor » avec Brian Johnson au chant et Steven Tyler à l'harmonica.

Los Angeles (8 mars 2024) : Slash, guitariste et compositeur lauréat de plusieurs Grammy Awardsannonce son sixième album solo, intitulé  « Orgy of the Damned», il sortira le 17 mai via Gibson Records. 
En 12 morceaux dynamiques il rend hommage au blues en revitalisant des classiques du style avec une approche dépouillée et spontanée, à l'image du premier single, « Killing Floor », sur lequel on retrouve Brian Johnson d’AC/DC au chant et Steven Tyler d’Aerosmith à l’harmonica.
Une interprétation électrique, rugueuse et joyeusement débridée du standard de Howlin’ Wolf datant de 1964. 
Filmé en studio, le clip qui illustre cette reprise donne un aperçu de Slash 
et du groupe qu'il a réunit pour l'occasion : Johnny Griparic (basse), 
Teddy Andreadis (claviers), Michael Jerome (batterie) et Tash Neal (chant /guitare) 
 
« « Killing Floor » est l’un de mes morceaux favoris de Howlin’ Wolf, mais aussi l’un des riffs iconiques du blues qui m’ont fait rêver quand j’ai commencé la guitare. » déclare Slash.  « J’ai toujours voulu le reprendre et ce disque m'en a enfin donné l’occasion. L'enregistrer avec ce groupe, plus Brian Johnson au chant est un accomplissement dont je n’aurais jamais osé rêver. N’oublions pas non plus le coup de main de Steven Tyler »
« Quand Slash m’a demandé de chanter « Killing Floor », j’ai immédiatement dit oui » ajoute Brian Johnson« Ce fut l’un des premiers morceaux que j’ai appris avec mon tout premier groupe. 
Quand il m’a fait écouter la version instrumentale, j’ai tout de suite adoré, et l’harmonica de Steven est super. Je me suis éclaté avec Slash en studio, je pense que nous avons tout à fait respecté le morceau d’origine. Rock on. »

En reprenant à la fois des classiques et des morceaux plus confidentiels, Slash tire son chapeau au passé de manière nostalgique tout en ne manquant pas de revigorer ces covers avec son jeu inimitable et son goût pour les collaborations. Dans "Orgy of the Damned", le célèbre guitariste s’est à nouveau offert les services du producteur Mike Clink et aligne une liste d'invités de choix. Une optique comparable à celle de son album solo de 2010. Slash a aussi rappelé deux des musiciens de Blues Ball, son groupe des années 90 : Johnny Griparic (basse) et Teddy Andreadis (claviers) en y ajoutant Michael Jerome (batterie) et Tash Neal (chant/guitare).

S’il a grandi en Angleterre, sa grand-mère américaine l’a initié au blues dès son plus jeune âge, ce qui lui a permis d’immédiatement s'intéresser à B.B. King. Dans le même temps, ses parents l’ont nourri de la meilleure des manières avec le rock ‘n’ roll britannique des années 60, allant de The Who aux Kinks. Après son déménagement à Laurel Canyon, Slash s’est retrouvé entouré de chanteurs rock et folk tels que Joni Mitchell, Crosby, Stills & Nash, ou encore Neil Young, qui l’ont inspiré aussi bien en tant que musicien que compositeur. Ce n’est que lorsqu’il a commencé à pratiquer la guitare qu'il s’est rendu compte que ses musiciens préférés avaient été influencés par les mêmes disques de B.B. King qu’il écoutait depuis son enfance.
 
"Orgy of the Damned" couvre plusieurs périodes et styles du blues. On retrouve ainsi une reprise enlevée et agressive du « Crossroads » de Robert Johnson, ou une interprétation plaintive et vibrante de « Stormy Monday » de T. Bone Walker avec une Beth Hart resplendissante d'intensité. Certains morceaux, tels que « The Pusher » de Steppenwolf, « Key to the Highway » de Charlie Segar et « Born under a Bad Sign » d’Albert King, avaient été déjà été repris par le Slash’s Blues Ball, alors que d’autres, comme « Living for the City » de Stevie Wonder, font partie des morceaux préférés du guitariste. Comme ce « Hoochie Coochie Man » de Willie Dixon - popularisé par Muddy Waters en 1954 - qui symbolise la nature débridée et spontanée de "Orgy of the Damned", grâce la participation de Billy F. Gibbons à la guitare et au chant. Les musiciens ont répété à North Hollywood, puis ont commencé à interpréter ces classiques, animés par une passion commune. Tout a été joué live dans la même pièce, avec un groupe qui mettait l’accent sur l’improvisation. Le résultat : des morceaux dynamiques et énergiques, qui restent immédiats, crus et familiers.
 
En cherchant des chanteurs, Slash a approché son vieil ami et partenaire musical Iggy Pop, qui voulait enregistrer du blues depuis longtemps. l'iguane a proposé de chanter « Awful Dream », un morceau de Lightnin’ Hopkins datant de 1962, initialement enregistré à la guitare acoustique. Les deux musiciens, assis sur leurs tabourets respectifs, ont décidé de recréer cette atmosphère dépouillée et ont enregistré leur version langoureuse et émouvante dans le studio de Slash. « L’interprétation d’Iggy est sublime » confirme-il « C’est une de ses facettes que personne n’a jamais vraiment entendue. A la fin du morceau, on l’entend même chanter les parties d’harmonica. »

Plus loin sur le disque, Demi Lovato prête sa voix puissante à « Papa Was A Rollin’ Stone », une version fidèle et profonde du single de 1972 de The Temptation, groupe que Slash admirait lorsqu’il était enfant. Bien que le titre tire plus vers le R&B, le guitariste a souhaité y inclure sa propre griffe. L'album se conclut avec une composition instrumentale planante, « Metal Chestnut », écrite spécialement pour l'occasion.

"Orgy of the Damned" permet enfin à Slash d’exposer un des aspects encore méconnus de son talent. S’il a toujours démontré un large spectre d’influences musicales, cet opus lui permet d’explorer une face unique de son jeu et invite à une aventure mouvementée à travers ses inspirations blues profondes, qui étaient longtemps restées en arrière-plan de son illustre carrière.

 
Liste des titres  :
1. “The Pusher” feat. Chris Robinson (chant et harmonica)
écrit par Wayne Hoyt Axton
 
2. “Crossroad Blues” feat. Gary Clark Jr (chant, guitare rythmique et solo)
écrit par Robert Leroy Johnson
 
3. “Hoochie Coochie Man” feat. Billy F. Gibbons (chant, guitare rythmique et solo)
écrit par Willie Dixon
 
4. “Oh Well” feat. Chris Stapleton (chant)
écrit par Peter Alan Green
 
5. “Key to the Highway” feat. Dorothy (chant)
écrit par Charles Segar, William Broonzy
 
6. “Awful Dream” feat. Iggy Pop (chant)
écrit par Sam (Lightnin’) Hopkins, Clarence Lewis, C Morgan Robinson
 
7. “Born Under a Bad Sign” feat. Paul Rodgers (chant)
écrit par William Bell et  Booker T. Jones
 
8. “Papa Was a Rolling Stone” feat. Demi Lovato (chant)
écrit par Barrett Strong, Jesse Norman Whitfield
 
9. “Killing Floor” feat. Brian Johnson (chant)
écrit par Chester Burnett
Special guest Steven Tyler à l'harmonica.
 
10. “Living for the City” feat. Tash Neal (chant)
écrit par Stevie Wonder
Special guest au choeurs : Jenna Bell, Jessie Payo
 
11. “Stormy Monday” feat. Beth Hart (chant)
écrit par T-Bone Walker
 
12. “Metal Chestnut”
écrit par Slash

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